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syka31

Légendes De La F1

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RedBob

Dernier épisode consacré à Antonio Tomaini. On peut y apercevoir Olivier Grouillard faire le pitre sur des vidéos d'époque.

 

Antonio parle de la Scuderia Ferrari de son époque, celle dont il était directeur sportif, d'Alfa Roméo, de Gilles Villeneuve et de son livre dont les bénéfices sont reversés aux associations d'aide aux personnes atteintes d'un cancer.

 

(Sous-Titres Français)

 

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RedBob

Nicola Materazzi a un humour acerbe lorsqu'il évoque la 488 mais c'est amusant :D Très belle vidéo pour cette première journée piste organisée par Drive Expérience à l'Autodrome de Modène. La moitié des icônes du Sport-Auto Italien était présente. 

 

(Sous-titres Français)

 

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RedBob

Je ne savais pour où mettre cette vidéo alors je la place dans ce thread. L'épopée de Lancia racontée par le père de la 037, Sergio Limone ! Encore un document exceptionnel de Davide Cironi dans lequel nous apprenons comment naquit la mythique Lancia 037. Au fait, si quelqu'un est intéressé par un achat, celle ayant gagné le Monte-Carlo est à vendre ICI pour la modique somme de 995k€, c'est cadeau comparé à certaines Ferrari ....

 

(Sous-titres Français)

 

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speedy
il y a 11 minutes, RedBob a dit :

1520944433-28872352-10212766199442921-27

 

312 T2 "version 1977".

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RedBob

Nouvel épisode de "Limone Racconte", intéressante la partie Alfa (Sous-Titres Français)

 

 

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geo27

Imola ce we.

 

C'est beau non? Et avec le pilote.

Ça me fait tout chose de voir ça....

 

Source

https://www.formulapassion.it/worldnews/passion-day/motorlegendfestival-jacky-ickx-torna-al-volante-della-312b-379464.html

 

 

 

 

 

Motor-Legend-festival-Ferrari-312B-Ickx-6-666x443.jpg

Motor-Legen-Festival-Ferrari-312B-Ickx-9.jpg

Modifié par geo27

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RedBob

Pour ceux qui aiment la compétition automobile, interview à ne pas rater, ce n'est pas de la F1 mais du DTM et c'est tout aussi passionnant, surtout raconté de l'intérieur, superbe ! (sous-titres Français).

 

Épisode grandiose.

 

 

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BenBen

Bonjour Les Amis, 

 

possiblement deja postée, encore une vidéo d'un événement, de voitures historiques qui date un peu.

 

nous y voyons entre autre Phil Hill, Le paS bien vieux à cette prise de vue: Jackie Stewart et ce qui est fun: Fangio 74ans qui s'amuse avec ses anciennes Alfa:

 

 

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geo27

Il y a 30 ans, Senna signait une pole d'anthologie à Monaco

La vidéo embarquée n’existe pas car la Mclaren n'avait pas de caméra à cette époque.

Mclaren a recréé cette simulation.

Intéressant

 

http://www.autohebdo.fr/f1/breves/mclaren-imagine-la-video-de-la-pole-de-senna-en-1988-194839.html

 

1'23"998, on a l'impression qu'il se traîne par rapport aux images d'hier ou RIC a fait 1'11"8  (même si le circuit est légèrement différent, c'est 12 s de moins quand même!)...

Et pourtant à l'époque, çà avançait très fort.

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speedy
il y a 7 minutes, geo27 a dit :

Il y a 30 ans, Senna signait une pole d'anthologie à Monaco

La vidéo embarquée n’existe pas car la Mclaren n'avait pas de caméra à cette époque.

Mclaren a recréé cette simulation.

Intéressant

 

http://www.autohebdo.fr/f1/breves/mclaren-imagine-la-video-de-la-pole-de-senna-en-1988-194839.html

 

1'23"998, on a l'impression qu'il se traîne par rapport aux images d'hier ou RIC a fait 1'11"8  (même si le circuit est légèrement différent, c'est 12 s de moins quand même!)...

Et pourtant à l'époque, çà avançait très fort.

Il avait quand même mis UNE SECONDE ET DEMIE à son suivant, qui était rien moins qu'Alain Prost, et DEUX SECONDES ET SEPT DIXIEMES au troisième, Gerhard Berger;

Tout ça pour se sortir à quinze tours de la fin au portier....

J'ai l'impression que c'était hier!

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Yves

Il y a une vidéo d'une pôle de Senna à Monaco dans le film qui lui est consacré. C'est juste magique!

 

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speedy
il y a 4 minutes, Yves a dit :

Il y a une vidéo d'une pôle de Senna à Monaco dans le film qui lui est consacré. C'est juste magique!

De mémoire, la première année où ça a été "filmé de l'intérieur" ds une McLaren devait être 1990, ce me semble; donc avec le V10. 

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geo27
il y a 7 minutes, Yves a dit :

Il y a une vidéo d'une pôle de Senna à Monaco dans le film qui lui est consacré. C'est juste magique!

 

C'est ce qu'ils disent sur le lien

 

... " 

Vous avez été nombreux à pointer, à juste titre, que l'extrait vidéo en caméra embarquée d'Ayrton Senna insérée dans l'article relatif au Grand Prix de Monaco 1988 datait en réalité de 1990. Effectivement, le tour supersonique du Brésilien n'existe pas en vidéo, pour la bonne raison qu'il n'y a jamais eu de caméra embarquée sur la Mclaren cette année-là.

 

"

 

mais c'était pas la bonne année.

 

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RedDreams

La vente de Force India à Rich Energy est quasiment bouclée!...

http://motorsport.nextgen-auto.com/Force-India-sur-le-point-d-etre-vendue-a-Rich-Energy,127171.html


1000CH sinon rien !...
Quand 3 des 4 Pays Européens Champions du Monde de F1 rendent hommage à la plus belle GT Française inspirée d'une Oeuvre d'Art Italienne !...

Ç'est ici : http://www.ferrarista.fr/forum-ferrari/index.php/topic/6405-reddreams/page-4

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RedDreams

Je ne peux résister à vous faire partager cet article "croustillant" relatant une interview de Niki Lauda relatif à l'année de son titre contre Alain Prost qui était son "équipier" chez Mc-Laren... :D

http://motorsport.nextgen-auto.com/Lauda-Prost-etait-penible,117812.html

 

Un petit extrait :

Citation

Prost est alors arrivé avec un large sourire et m’a raconté avec une grande franchise son aventure nocturne en compagnie d’une noble originaire de Monaco. Je me suis dit intérieurement – oui oui, Dieu Merci. Mon problème était résolu. J’ai finalement gagné.

 

Modifié par RedDreams

1000CH sinon rien !...
Quand 3 des 4 Pays Européens Champions du Monde de F1 rendent hommage à la plus belle GT Française inspirée d'une Oeuvre d'Art Italienne !...

Ç'est ici : http://www.ferrarista.fr/forum-ferrari/index.php/topic/6405-reddreams/page-4

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speedy

Il y a eu soixante ans ce dimanche que Tony Brooks a signé une fabuleuse victoire au G.P d'Allemagne (1958) sur le Nürburgring.

Alors, un petit résumé, pour ceux qui ne savent pas...je vous ai fait un petit résumé.

 

Le Grand Prix d’Allemagne 1958 s’est déroulé le 3 août 1958 sur « l’ancien tracé » du Nürburgring, la grande boucle de 22,810 kms, le fameux « enfer vert ».

 

Au départ, sur la première ligne, quatre pilotes britanniques : Mike Hawthorne, sur Ferrari, en pôle avec un chrono de 9’14’’0, suivi de Tony Brooks sur Vanwall, à 1 seconde (9’15’’0), puis Stirling Moss sur Vanwall en 9’19’’1, et Peter Collins sur Ferrari en 9’21’’9.

En observant les voitures durant les essais, on constatait la supériorité des Vanwall en tenue de route dans le long secteur sinueux, mais les Ferrari parvenaient à rester dans le coup grâce à leur puissance supérieure et la longue ligne droite à la fin du circuit.

 

Chez Vanwall, la situation était claire : Stirling Moss était le numéro 1 incontesté au vu de son expérience et de son talent, mais Tony Brooks faisait souvent jeu égal avec lui, et pouvait lui tenir la dragée haute: aux essais de Monaco, après que Moss eut réalisé un temps qu’il pensait « imbattable », il avait vu Tony Brooks améliorer son chrono de plus d’une seconde, ce qui avait laissé Moss, pourtant pas réputé pour sa modestie, sans voix.…Pour ce Grand Prix d’Allemagne, quelques-uns se demandaient si Tony Brooks n’aurait pas pu s’emparer de la pôle-position, s’il n’avait pas dû s’adapter à la nouvelle suspension De Dion, montée pour la première fois durant les essais ; en réalité cette modification avait laissé Brooks préoccupé, car elle ne lui avait pas permis de tester sa voiture avec le plein d’essence, et il craignait qu’elle ne soit pas bien équilibrée pour les premiers tours de la course, qui en comptait quinze. L’écurie avait décidé de laisser Moss libre de sa course : il jouait le Championnat contre Mike Hawthorn, qui venait de gagner le G.P de France. Brooks avait eu moins de réussite et n’avait qu’un seul résultat, 8 points, à son actif : sa victoire au Grand Prix de Belgique.

 

C’est pourtant Tony Brooks qui part en tête, devant son coéquipier Stirling Moss, la BRM de Harry Schell, et les deux Ferrari. Comme souvent, Stirling Moss veut gagner cette course : les points intermédiaires ne l’intéressent pas ; il attaque donc fort d’emblée, et dépasse son coéquipier Brooks dès le premier virage, la Sudkurve puis creuse immédiatement l’écart ; sagement, Brooks le laisse passer et n’insiste pas. Hawthorn et Collins dans leurs Ferraris roulent de concert ; ils se débarrassent très vite de Schell, puis finissent par dépasser Brooks à la fin du premier tour, dans la ligne droite, grâce à leur meilleure vitesse de pointe. Tony Brooks, lui, s’est aperçu que, comme il le craignait, sa voiture est plutôt instable avec le plein et il préfère temporiser ; il sait qu’elle sera très bien réglée quand le réservoir se sera un peu vidé : dans quelques tours il pourra attaquer, la course est longue et au surplus le circuit est dangereux.

On a donc, à la fin du premier tour, Moss sur Vanwall en tête, puis les deux Ferrari, et enfin la seconde Vanwall de Brooks, quatrième. Les positions se stabilisent assez vite : Moss est devant et il s’envole : son premier tour a été en 9’26’’6, il a déjà six secondes d’avance sur Hawthorn, mais il continue d’attaquer très fort: son deuxième tour est encore dix secondes plus vite, en 9’16’’6, et au troisième il fait craquer un incroyable 9’9’’2 ! il a déjà 17 secondes d’avance sur Collins, qui, lui, a dépassé Hawthorne. La messe semble dite, mais hélas pour Moss, comme souvent sa voiture va le lâcher : dans le quatrième tour, à l’entrée de Schwalbenschwanz, son moteur s’arrête : la magnéto a claqué.

 

Hawthorn et Collins, qui roulent de concert, se retrouvent en tête avec une trentaine de secondes d'avance sur Tony Brooks. La marge des Ferrari semble confortable, et peut-être que les deux pilotes, une fois Moss hors course, ont cru avoir la course dans la poche. A ce moment, David York, le directeur sportif de Vanwall, signale à Brooks d’attaquer. Tony Brooks a certes trente secondes de retard, mais la voiture est à présent plus précise, car le réservoir s’est vidé ; alors Brooks attaque, et il attaque fort : dans son style si particulier, si souple et si coulé, il fait tomber ses temps de 10 secondes par tour ; deux boucles plus tard, il n'est plus qu'à onze secondes des deux voitures rouges, emmenées par Collins. Les pilotes Ferrari, désagréablement surpris, réagissent ; mais c’est insuffisant, car Brooks ne relâche pas son effort, l'écart continue à se réduire: iI est encore tombé de quatre secondes au passage suivant : Tony a bouclé le 7è tour en 9’16’’7, et il n’est plus qu’à sept secondes des Ferrari ! Tony Brooks sent qu’il va avoir sa chance, et il continue de plus belle sur sa lancée.

 

Dans le huitième tour, il se concentre encore un peu plus, améliore à nouveau son chrono, et à la fin de ce huitième tour, au passage devant les tribunes, Brooks est revenu dans les roues d'Hawthorn ! Brooks accentue encore la pression : à l’attaque du neuvième tour, avec la Nordkurve, Tony Brooks « y va » : il dépasse Hawthorne dans la Nordkurve, s'intercalant ainsi entre les deux Ferrari, à l’attaque du long secteur sinueux. Au cours de ce neuvième tour, Brooks presse très fort à présent derrière Collins, mais sans trouver l'ouverture ni pouvoir le dépasser. Collins pilote maintenant vraiment à la limite : il est probable que Peter a décidé qu’il ne rentrerait pas à Maranello pour annoncer penaud qu’il avait perdu une victoire certaine, comme l’année précédente face à Fangio. Hawthorne lui aussi pousse un peu plus, il faut aider à préserver la victoire : grâce à la puissance de la Ferrari et à sa meilleure vitesse de pointe, il réussit à rattraper Brooks à la fin de la ligne droite, et à lui reprendre la deuxième place, juste avant la ligne d’arrivée, que les trois voitures franchissent roues dans roues pour l’attaque du 10è tour. Même si Hawthorne a réussi à le reprendre, Brooks a bouclé néanmoins le 10è tour dans le temps exceptionnel de 9’10’’6, qui illustre bien sa détermination.

 

Le suspense est à son comble, mais l'ordre est inchangé : les deux Ferrari sont en tête et conservent un mince avantage; Brooks est retombé à la troisième place, et à l’attaque du 11è tour, les deux pilotes Ferrari pensent qu’ils ont fait comprendre à Tony Brooks qu’ils ne lui laisseront pas la victoire. Mais Brooks a simplement pris un tour pour se préparer : il a décidé qu’il allait gagner cette course. Or, s’il est supérieur dans la partie sinueuse, les Ferrari finissent toujours par le reprendre à la fin de la longue ligne droite. Dès lors, il n’a qu’une seule solution : prendre une avance suffisante dans la partie sinueuse pour être trop loin pour être rattrapé dans la ligne droite; et s’il arrive à passer la ligne d’arrivée devant les Ferrari, il fait son affaire du reste: il les lâchera pour de bon dans le sinueux et ils ne le reverront plus. Pour réussir, pas le choix, une seule solution: il faut qu’il passe les deux Ferrari l’une après l’autre AVANT l’entrée du sinueux : la première à l’épingle qui suit la ligne d’arrivée, la Südkurve, la deuxième à celle qui suit la précédente avant le début du sinueux, la Nordkurve. Il faut qu’il entre dans le sinueux en tête ; ensuite, il a confiance en lui : les Ferrari ne le reverront plus. Donc c’est ça, ou perdre la course : passer la première dans le premier virage, et l’autre au virage suivant.

 

Et c’est exactement ce qu’il fait : sans coup férir, il pique Hawthorne au freinage de la Sudkurve, puis, dans la foulée, sans faiblir, il fait subir le même sort à Collins dans le virage suivant, la Nordkurve. Et voilà Tony Brooks en tête dès l’entrée du sinueux ; le plus dur est fait, mais le gros du travail reste à finir: lâcher définitivement ses adversaires dans ce tour et dans le sinueux; alors il se donne à fond, et il commence à s’envoler. Collins et Hawthorn comprennent ce que Brooks est en train de tenter: s’il se sauve, alors ils perdent la course ; ils donnent tout ce qu’ils peuvent pour essayer de se maintenir au contact, à quelques longueurs de la Vanwall n°8, mais celle-ci s’éloigne un peu plus à chaque virage. En entrant dans Pflanzgarten, un virage à droite, Collins, en seconde position, excède sans doute ses possibilités et celles de sa voiture : il a toujours pris ce virage en survirage, mais cette fois son dérapage lui est fatal : la voiture sort de la route, franchit un fossé, se retourne contre un arbre, et éjecte le pilote. Gravement touché à la tête et à la poitrine, Collins succombera à ses blessures quelques heures après son transfert par hélicoptère à la clinique universitaire de Bonn.

 

Ignorant le drame qui vient d’avoir lieu, Tony Brooks a fait le trou et il enfonce le clou : cette fois, il repasse seul en tête devant les tribunes, il a la course en poche. Mike Hawthorn, inquiet du sort de son coéquipier et ami, a lâché beaucoup de terrain ; il a failli s’arrêter sur les lieux de l'accident, avant de repartir, mais sans forcer. La course d'Hawthorn prend fin aux environs d’Aremberg : la transmission de la Ferrari a lâché. Tony Brooks a désormais course gagnée et remporte sa deuxième victoire de la saison, après Spa, loin devant Salvadori. Il allait encore ajouter Monza à son palmarès, quelques semaines après, et terminer 3è du Championnat. Malgré quatre victoires, Stirling Moss perdit le titre pour un point face à Mike Hawthorn qui n’avait gagné qu’une seule course. Avec sept victoires sur onze courses, Vanwall remporta le premier championnat du monde des Constructeurs ; Ferrari n’avait emporté que deux épreuves.

 

La mort de Peter Collins, un pilote aimé de tous, a probablement amoindri la perception de l’exceptionnelle performance de Tony Brooks ce jour-là, sur l’un des circuits les plus dangereux de l’histoire. Parmi ceux qui en avaient pris note, il y avait Enzo Ferrari ; lorsque Vanwall décida de se retirer de la course automobile fin 1958, Enzo ne perdit pas de temps et recruta Tony Brooks : après tout, en 1958, Brooks avait gagné trois Grand Prix: à Spa, au Nürburgring et à Monza, excusez du peu…

 

Bien des années après, au cours des années 2000, Stirling Moss déclara : « on m’a souvent demandé quels pilotes j’aurais choisi dans toute l’histoire de la F1, à supposer que cela soit possible, pour conduire dans mon écurie, si j’étais directeur sportif. C’est très simple, et mon choix n’a jamais varié : Jim Clark et Tony Brooks. Je n’ai jamais eu besoin d’expliquer pourquoi Jim Clark. C’est plus difficile pour Tony ; il m’en voudra peut-être de dire cela, mais il était discret et effacé, et il s’est retiré assez vite: l’histoire de la course ne lui a peut-être pas fait la place qu’il méritait. Je l’ai eu comme coéquipier, et je pense savoir de quoi je parle : question talent, Tony Brooks était sans égal ».  

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Todeschini

Merci, très beau récit !

Je me suis senti dans la course.

Incroyable Ring.

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RedDreams

12 jours plus tard, je venais au Monde !... :rolleyes:

Je ne pouvais donc pas y être, mais grâce à Speedy, je viens de vivre la course qui a précédé ma naissance ! 

Un Grand Merci !... 


1000CH sinon rien !...
Quand 3 des 4 Pays Européens Champions du Monde de F1 rendent hommage à la plus belle GT Française inspirée d'une Oeuvre d'Art Italienne !...

Ç'est ici : http://www.ferrarista.fr/forum-ferrari/index.php/topic/6405-reddreams/page-4

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Etienne

C'est très agréable pour commencer la journée. Et il vaut 1000 fois mieux commencer par cette section que par les "discussions générales "...:ph34r:

Ceci dit, je ne suis pas certain de reconnaître le style narratif habituel de @speedy : me trompes-je ? Quelle est l'origine de ce texte ?

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speedy
il y a 53 minutes, Etienne a dit :

C'est très agréable pour commencer la journée. Et il vaut 1000 fois mieux commencer par cette section que par les "discussions générales "...:ph34r:

Ceci dit, je ne suis pas certain de reconnaître le style narratif habituel de @speedy : me trompes-je ? Quelle est l'origine de ce texte ?

Tu penses bien que si j'avais repris un texte existant, j'aurais crédité son auteur. Pas seulement pour des questions de copyright (= légales) mais aussi pour des questions de correction (= bonne manières).

J'ai utilisé plusieurs sources, pêle-mêle: le papier de Doug Nye dans le dernier "'Motorsport Magazine", lui-même citant l'article original de "Jenks" (= Denis Jenkinson), que j'ai retrouvé aux archives Le livre d'Alan Henry sur les monoplaces de Grand Prix Ferrari; deux articles de Nigel Roebuck, l'un dans "Grand Prix Greats", l'autre dans "Chasing the title", etc...

 

L'histoire de Tony Brooks est fascinante si l'on tient compte:

- de la façon dont il est arrivé en F1: pas par chance, mais par hasard (si, si...)

- de sa carrière très brève: seulement quatre ans, mais six victoires en Grand Prix au compteur; et de la réputation qu'il a acquise: Mario Andretti dit de lui: "That man is the best of the best of the best, period"

- du fait qu'il ait été leader de la Scuderia en 1959, l'un des trois pilotes qui ont disputé le titre 1959 jusqu'à la dernière course; et qu'il n'y soit resté qu'une seule saison (par choix)

- de sa rivalité avec Stirling Moss, très amicale (ils sont toujours de grands amis aujourd'hui, Moss a 89 ans, Brooks 86) mais très compétitive.

- etc...

Modifié par speedy

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