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speedy

275P #0816 ex-Bardinon aux enchères

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geo27

Elle ne sera donc pas exposée à Rétro alors ou ils vont la montrer quand même ? 

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Etienne
Il y a 12 heures, geo27 a dit :

Elle ne sera donc pas exposée à Rétro alors ou ils vont la montrer quand même ? 

Je souhaite qu'elle le soit pour ceux qui feront le déplacement, mais j'en doute...Quel intérêt si elle n'est pas à vendre ?

On ne sait pas grand chose, pour ne pas dire rien, mais je suis quand même un peu étonné qu'Artcurial n'ait pas mieux anticipé et bétonné l'affaire, compte tenu du contexte particulier entourant cette collection. D'autant que c'est la raison évoquée dans leur CP : "en raison des procédures en cours dans le cadre de la succession"

Modifié par Etienne

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screensmoke
il y a 48 minutes, Etienne a dit :

Je souhaite qu'elle le soit pour ceux qui feront le déplacement, mais j'en doute...Quel intérêt si elle n'est pas à vendre ?

On ne sait pas grand chose, pour ne pas dire rien, mais je suis quand même un peu étonné qu'Artcurial n'ait pas mieux anticipé et bétonné l'affaire, compte tenu du contexte particulier entourant cette collection. D'autant que c'est la raison évoquée dans leur CP : "en raison des procédures en cours dans le cadre de la succession"

 

Je vois pas ce qu'ils auraient pu faire de plus que le contrat de mandat de vente signé... ?  A priori ce sont les bardinon qui ont dénoncé le contrat, et qui, sauf clause contractuelle spécifique, devront payer des pénalités à Artcurial !

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screensmoke

Gros post de Patrice de bruyne (gatsby online) sur facebook

 

ca tape dur :blink::wacko:<_<

 

Et je retiens que toute la collection bardinon est vendue :mellow:

==========

 

 

Faux, tromperies, escroqueries et blanchiment…

Un internaute lecteur de mes chroniques, me demande le pourquoi et le comment de diverses « ventes aux enchères hyper merdiatisées »…, en ce compris pourquoi certaines de celles-ci, annoncées à grands fracas (sic !), sont annulées pour des raisons grotesquement débilitantes…

Pour ce qui est de la Ferrari « Bardinon » qui devait figurer dans la vente Artcurial de Rétromobile 2018 et qui avait été annoncée avec grand tapage, c’est parce qu’un des héritiers l’a vendue en gré-à-gré, inclus dans le lot des 12 Ferrari de la collection restante, pour 300 millions… et que l’acquéreur n’a pas digéré qu’une des 12 (celle annoncée par Artcurial) soit réservée à la vente Artcurial/Rétromobile 2018, d’où plainte et procès qui bloquent la mascarade de la Ferrari.

 

Ce fait, remet en cause le battage médiatique de la précédente vente des 5 et 6 février 2016, car une enquête révèle que la Ferrari 1957 type 335 Scaglietti, lot 170) adjugée à 32 millions était déjà vendue au client Américain Mr Ross, AVANT la vente aux enchères Artcurial de 2016… et que pour des raisons de « crédibilité » il avait été décidé de la présenter à la vente aux enchères Artcurial pour faire du « cinéma » et créer un évènement pour une vente à venir ou serait présentée les 12 Ferrari restantes de la Collection-Bardinon…, valeur 300 millions d’€uros !

 

Maître Hervé Poulain a ainsi tenu une enchère « bidon », une tromperie écœurante orchestrée par Matthieu Lamoure, car la vente « au téléphone » était inexistante, sauf que pour indiquer à l’acquéreur américain (Mr Ross) que « tout se passe bien »…, cela signifie que cette joute homérique « en voulez-vous ? » était du théatre-trompeur…

 

Le duo Hervé Poulain/Matthieu Lamoure a accepté de se prêter à cette mascarade (une tromperie vis à vis du monde entier) car cela leur offrait un retour publicitaire énorme… et en cette suite, ils ont obtenu (par convention) de recommencer le cirque avec une autre Ferrari qui pouvait atteindre le même chiffre (32,000.000 millions d’€uros)… mais comme un acquéreur, pressenti par un des héritiers, achetait le lot des 12 Ferrari restantes pour 300,000.000 millions d’€uros ca$h, il n’a pas accepté de se prêter à cette fumisterie…, d’où plainte et procès qui font que Matthieu Lamoure s’est fendu d’un communiqué de presse hilarant pour qui connaît le dessous de cette (triste) affaire.

 

Chez les flics, il est largement reconnu que "les affaires louches" sont résolues en cause d'informateurs (d'informatrices aussi, souvent qualifiées de "putes")...

 

En matière fiscale, en ce qui inclus le blanchiment et autres méfaits, c'est pareil... sauf que pour les "intervenant(e)s" qui font partie de milieux très très très aisés (trop aisés) ayant des ramifications politiques, l'usage est d'y aller "avec des pincettes" plutôt qu'une pince "mon saigneur"...

 

D'autre part, lorsqu'un "coup" tordu a "marché", généralement , pour ne pas se faire "épingler"..., les malfrats (les minables et ceusses "de la haute")... ne refont pas exactement le même "coup", sauf au cinéma dans le film "L'affaire Thomas Crow" avec Steve McQueen... 

 

Mais, le tourbillon des dizaines de millions aisément gagnés fait tourner la tête et certain(e)s perdent la notion du danger, assurés d'une sorte d'impunité..., surtout lorsqu'ils (et elles) font partie d'un "Grand-Groupe" internationalement connu dans la sphère des peigne-culs !...

 

Le marché des oeuvres d'art est idéal pour des opérations de faux , usage de faux, d'escroqueries et de blanchiment... 
Le principe est simplissime : l'argent qui a été "gagné" (gag!) et qui stagne dans un paradis fiscal, voire une société Off-Shore..., ne peut revenir dans la poche du "BO$$" dans un pays libre et civilisé (sic !) comme la France (par exemple), sans que des questions se posent et que des taxes soient perçues... 

 

Donc, "le BO$$$$" va monter une stratégie qui peut (voire qui doit) se construire sur un long terme (pour éviter les soupçons et les enquètes..., généralement ce type d'affaire est prescrit après dix ans).

 

Il est nécessaire pour lui, d'acheter un maximum d'objets qui sont susceptibles de prendre de la valeur, au moment ou ces objets ne valent quasi-rien..., par exemple des cochons tatoués, des peinturlurations diverses, du caca sur toile, des bagnoles de course sans grande valeur... ainsi que des copies de  tout cela (sic !) qui pourront être authentifiées par un expert (il n'existe pas de diplôme d'expert, de même qu'il n'existe aucune école d'expertise, en matière de peinturlurations débiles, de cochons tatoués, de copies de bagnoles et même de voitures de collection, ni surtout concernant les cacas sur toile et autres folies..., c'est donc un milieu propice)...

Dès que "le Bo$$" possède quelques croûtes infâââmes, divers faux plus ou moins authentifiés par des moyens grotesques par des "experts hurluberlus" à grand renfort de pépettes... il est temps d'abord d'en réaliser un article (avec photos) dans "les merdias sous contrôle" afin de préparer la lobotomisation générale...et, après "un certain temps", d'en placer diverses dans une vente aux enchères d'envergure pour assurer un maximum de crédibilité..., et ce avec un autre battage merdiatique, du genre : "On a retrouvé un VanGogh surpeint sur une toile de Picasso qui était elle même peinte au verso d'une esquisse de Léonard de Vinci", valeur basse estimée par la célèbre maison "Gagaga&co" pour 30.000.000 d'euros..., l'oeuvre ayant été acquise 50 anciens Francs, 30 ans plus tôt par un collectionneur dans une brocante de Mesnil-Montant auprès d'une pute de Barbés qui l'avait retrouvée dans le grenier de sa Grand-mère... 

 

C'est le genre d'histoire hyper crédible (gag !) que les beaufs lisent dans divers merdias..., elle est duplicable en toutes matières, en ce compris l'automobile "de collection" qui est le plus grand panier de crabes de notre univers... 

Tout le monde crie au miracle... et la vente à lieu de manière hyper merdiatisée... 
Paf ! 
L'oeuvre se vend 32.000.000 (montant au hasard) PAR TELEPHONE (qui est-ce donc ?) ou via un intermédiaire qui ne peut dévoiler le nom de son client... le montant dépasse bien évidemment l'estimation de l'expert (profession je le rappelle qui ne nécessite aucun diplôme), information relayée par la maison de ventes aux enchères elle-même (d'autant plus facilement qu'elle fait partie d'un groupe de presse, qui fait lui même partie de la galaxie d'un milliardaire intouchable)... et par les journaleux et leurs merdias (itou)... 
C'est "énaurme".. 
Goebbels disait que au plus c'est gros au plus les gens l'avalent... 
Et puis, c'est fini... 

Qui vérifie ? 
On se pose des questions... quand même...
Mais comment vérifier ?

 

Surtout l'identité de l'acquéreur au téléphone... 
C'est quand une affaire quasi identique se re-présente avec les mêmes personnes et sociétés, toujours avec une oeuvre de même style, avec une histoire encore plus rocambolesque, que les pandorres et fiscards se disent que des moyens devraient être déployés pour tenter de comprendre... (ils lisent les chroniques de www.GatsbyOnline.com aussi...) ! 

 

Et lorsque d'autres oeuvres semblables, par exemple étendu au monde faisandé des bagnoles "de collection" se découvrent avec des doublettes de numéros de châssis..., comme la Bugatti retrouvée dans le fond du lac de Cuomo dont "la doublette" avait été vendue quelques années auparavant à un Japonais par la même maison de vente aux enchères qui vendra l'épave du Lac de Cuomo)..., et comme l'Alfa Roméo 8 bleue faisant partie du patrimone Français, vendue "à la sauvette" en Angleterre, alors qu'existe une autre même Alfa Roméo 8C noire en Allemagne..., et comme la Ferrari Super América, 100% fausse authentifiée par Ferrari, alors que la vraie, volée, a été vendue avec le N° de châssis d'une 330..., alors ça commence à remuer..., mais avec calme et dicernement, car l'Etat Français possède lui-même des "oeuvres" du même tonneau qui contribuent à augmenter artificiellement la valeur du Patrimoine national...


Les exemples sont légions.

Comme le fisc (Bercy) commence à s'en inquiéter (les fiscards lisent de plus en plus attentivement www.GatsbyOnline.com), ils commencent (enfin) à surveiller le grouillement des crabes dans le panier...
Et, pour ne pas qu'on découvre le filon (aucun rapport avec le fumeux Fillion), certain(e)s qui pensent plus loin (les avocats des divers "BO$$"), leurs conseillent "de la mettre en sourdine"... 
Voilà... pourquoi certaines oeuvres sont retirées de diverses ventes...

Cette chronique, bien évidement, qui est "une oeuvre" satirique, humoristique et loufoque..., ne vise personne en particulier ni en général, toute confusion est accidentelle, si vous croyez y voir plus, c'est une erreur de votre part...

 

Pour mieux en connaître  :

http://www.gatsbyonline.com/automobile/l-enfer-du-monde-des-automobiles-dites-de-collection-357151/

http://www.gatsbyonline.com/automobile/retromobile-2016-vente-ferrari-bardinon-par-artcurial-32-075-200-millions-d-367613/

http://www.gatsbyonline.com/automobile/pierre-bardinon-les-lapins-et-la-ferrari-335-s-spider-scaglietti-1957-366980/

http://www.gatsbyonline.com/automobile/alfa-romeo-8c-1932-figoni-chassis-2211079-379278/

http://www.gatsbyonline.com/automobile/une-bugatti-sauvee-des-eaux-1-348639/

http://www.gatsbyonline.com/automobile/une-bugatti-sauvee-des-eaux-2-349809/

http://www.gatsbyonline.com/automobile/une-bugatti-sauvee-des-eaux-3-349948/

http://www.gatsbyonline.com/automobile/1957-410-ferrari-scaglietti-boano-superamerica-s-n0671sa-et-s-n0579gt-361374/

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Vincent993
il y a 38 minutes, Yves a dit :

Je me demande si son style ne se bonifie pas avec le temps ? B)

Mouai... faut voir.

il reste quand même dans la diatribe haineuse, limite diarrhée verbale, depuis au moins 35 ans.

c'est dommage car le fond est intéressant.

Personnellement, sur la longueur, ca me fatigue de le lire.


Azzuro, un truc de connaisseur ! :P

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Etienne

"son style se bonifie avec le temps" Pour le coup, c'est le sentiment inverse pour moi...et j'admets que mes précédents commentaires sur le  Mr. en prennent un bon coup. Passe encore sur la 1ere partie qui s'intéresse à la collection Bardinon (et qui reste à confirmer) le reste n' est une infâme bouillie puante.

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Etienne
il y a 12 minutes, Vincent993 a dit :

Mouai... faut voir.

il reste quand même dans la diatribe haineuse, limite diarrhée verbale, depuis au moins 35 ans.

c'est dommage car le fond est intéressant.

Personnellement, sur la longueur, ca me fatigue de le lire.

Voilà on est sur la même ligne !

Des personnes sont directement mises en cause : on est soit dans des faits avérés soit dans de la diffamation.  S'il est autant lu qu'il le prétend il serait étonnant que les mis en cause en restent là. 

Modifié par Etienne

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speedy
il y a 57 minutes, Etienne a dit :

Voilà on est sur la même ligne !

Des personnes sont directement mises en cause : on est soit dans des faits avérés soit dans de la diffamation.  S'il est autant lu qu'il le prétend il serait étonnant que les mis en cause en restent là. 

C'est clairement passible des tribunaux sans la moindre hésitation; mais surtout, si les intéressés n'assignent pas, ça veut dire qu'ils ne considèrent pas que cela soit de la diffamation, donc...

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Yves

Mon commentaire était ironique, j'avais mis un smiley. Je suis évidement d'accord avec vous

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Glyde
Etienne

J'ai l'impression qu'on avait zappé l'info : après le fiasco "Artcurial - Rétromobile", # 0816 revient sur le marché via RM Sotheby's, en vente privée à Monterey

 

https://rmsothebys.com/en/home/private-sales/r0015-1963-ferrari-275-p/709254

 

avec confirmation qu'elle a bien gagné Le Mans en 63 ET 64 

 

en français : https://newsdanciennes.com/2018/08/15/la-ferrari-275p-ex-bardinon-sera-vendue-aux-encheres-aux-usa-et-elle-a-gagne-deux-fois-les-24h-du-mans/

Modifié par Etienne

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geo27

Bon ben comme ca, on la verra encore moins...

A mon avis, elle va y rester au us..

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Invité
Il y a 8 heures, Etienne a dit :

avec confirmation qu'elle a bien gagné Le Mans en 63 ET 64 

 

Bizarre ...j' en étais resté à S/N 814 n°21 LM 63 et  S/N 816 n°20 LM64 ....dixit "Ferrari au Mans"  E.P.A / Dominique Pascal ( p66 et p72 )  :blink:

 

idem dans " Sport et prototypes"  Ferrari au Mans"  1961-1967 / Francois Hurel / Le Mans Racing /edition Vif Argent ( les mêmes que "world in Red" )

P52 + p69

 

... :huh:

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Invité

et là sur Barchetta ...:ph34r:

 

http://www.barchetta.cc/english/All.Ferraris/Detail/0814.250P.htm

 

http://www.barchetta.cc/english/All.Ferraris/Detail/0816.250P.htm

 

MAIS :

 

Note
0814, was severely damaged in a practice accident at the Nürburgring one month prior to Le Mans. Factory documentation confirms that 0814 was still being repaired during Le Mans, and rather than submitting new paperwork for a replacement entry, Scuderia Ferrari simply sent 0816 to Le Mans under 0814’s identity

 

qui doit on croire ??? :huh:

Modifié par Prova MO31

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Etienne

Les dernières infos sont assez fiables...bizarrement P.Bardinon semblait ignorer qu'il possédait un double vainqueur du Mans. Et Artcurial ne le savait pas non plus en février. Entre temps la voiture est passée chez Classiche qui a confirmé que C'est bien 0816 en 250P qui a été engagé avec succès au Mans 63, mais avec l'identité de 0814. Elle y est retournée toujours avec succès mais en 275P, sous sa propre identité, en 64.

Je pense que Barchetta est en train d'actualiser ses infos avec les données récentes de RM Sotheby'

Modifié par Etienne

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Invité
à l’instant, Etienne a dit :

Les dernières infos sont assez fiables...bizarrement P.Bardinon semblait ignorer qu'il possédait un double vainqueur du Mans. Et Artcurial ne le savait pas non plus en février. Entre temps la voiture est passée chez Classiche qui a confirmé que C'est bien 0816 en 250P qui a été engagé avec succès au Mans 63, mais avec l'identité de 0814. Elle y est retournée toujours avec succès mais en 275P, sous sa propre identité, en 64.

 

ça serait interessant de voir le doc "Classiche" ...

 

ou alors ( théorie du complot... :ph34r: ) il s' agit d' un moyen de lui donner plus de valeur afin de la vendre ENCORE plus chère, en lui octroyant une victoire de plus :rolleyes:

 

...

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Etienne
Il y a 1 heure, geo27 a dit :

Bon ben comme ca, on la verra encore moins...

A mon avis, elle va y rester au us..

Elle pourrait aussi partir en Autriche...:rolleyes:

En fait difficile à dire. Pourquoi la 250swb Bertone 3269gt est elle venue en Suisse pour 16,5 mio$ ?

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geo27
il y a une heure, Etienne a dit :

Elle pourrait aussi partir en Autriche...:rolleyes:

En fait difficile à dire. Pourquoi la 250swb Bertone 3269gt est elle venue en Suisse pour 16,5 mio$ ?

Oui tu as raison.

Du moment qu'on la voit encore rouler quelque part pas trop loin, finalement on s'en fout ou elle va.

On peut par contre ne pas risquer grand chose en disant qu'à 99,99% elle ne restera pas en France.

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Etienne
Il y a 10 heures, geo27 a dit :

Oui tu as raison.

Du moment qu'on la voit encore rouler quelque part pas trop loin, finalement on s'en fout ou elle va.

On peut par contre ne pas risquer grand chose en disant qu'à 99,99% elle ne restera pas en France.

Quoi qu'il en soit il y a des chances pour qu'on la voit plus qu'avant. Si ce n'est pas en live sur le circuit de Bresse, ce sera en photos sur les greens de Pebble Beach tous les ans en août ou au Breakers en janvier et ce sera toujours plus que jusqu'à présent ;)

Déjà avec la vente on a eu droit à plein de photos pour Artcurial et surtout pour RM S' avec R. Dargegen. C'est un gros progrès !

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Invité

Alors , vendue ou pas vendue ? -_-

 

en tout cas, elle n' apparait plus dans les lots ...ni vendus , ni toujours à vendre ...et pas dans la rubrique "Private collection" 

 

Etonnant aussi, elle n' apparait pas , ni dans le catalogue de vente du vendredi , ni dans celui du samedi

 

Alors ? qu' en déduire ? :rolleyes:

 

https://rmsothebys.com/en/home/lots/MO18#?SortBy=Default&SearchTerm=ferrari&Category=All Categories&IncludeWithdrawnLots&Auction=MO18&OfferStatus=All availability&AuctionYear=&Model=Model&Make=Make&FeaturedOnly=false&StillForSaleOnly=false&Collection=All Lots&WithoutReserveOnly=false&page=1&pageSize=200

Modifié par Prova MO31

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gregmour
à l’instant, Prova MO31 a dit :

Alors , vendue ou pas vendue ? -_-

 

en tout cas, elle n' apparait plus dans les lots ...ni vendus , ni toujours à vendre ...et pas dans la rubrique "Private collection" 

 

Etonnant aussi, elle n' apparait pas , ni dans le catalogue de vente du vendredi , ni dans celui du samedi

 

Alors ? qu' en déduire ? :rolleyes:

 

https://rmsothebys.com/en/home/lots/MO18#?SortBy=Default&SearchTerm=ferrari&Category=All Categories&IncludeWithdrawnLots&Auction=MO18&OfferStatus=All availability&AuctionYear=&Model=Model&Make=Make&FeaturedOnly=false&StillForSaleOnly=false&Collection=All Lots&WithoutReserveOnly=false&page=1&pageSize=200

elle est dans la partie "private sale"

 

https://rmsothebys.com/en/home/private-sales/

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Lord Brett

L'affaire GTO, la suite mais pas la fin

 

Citation

À qui appartient la Ferrari à 38 millions d'euros?

Par Agnès Laurent, publié le 11/09/2018 à 17:30 , mis à jour à 23:16

Le tribunal de Guéret doit trancher une brouille entre les légataires de la plus mythique collection de Ferrari au monde.

Voilà belle lurette que le tribunal correctionnel de Guéret, dans la Creuse, n'a pas eu à traiter un dossier pareil. Huit avocats, quinze témoins, un prévenu au nom prestigieux et 50 millions d'euros en jeu. L'affaire, examinée les 13 et 14 septembre, pourrait être une classique querelle d'héritage, faite de jalousie et de malentendus, de rancoeur et de non-dits si l'objet de la dispute n'était pas une Ferrari 250 GTO de 1964, une voiture de course rarissime, devenue "la voiture la plus chère au monde" lors de sa vente en 2014 pour 38 millions d'euros. 

Une fortune née du tannage de peaux de lapin

Cette histoire hors norme est aussi celle d'une famille, les Bardinon, discrets mais très fortunés industriels de la Creuse. Celle de Pierre, décédé en 2012, qui constitua l'une des plus belles collections de Ferrari de la planète. Celle de ses trois enfants, Patrick, Jean-François et Anne, qui se déchirent publiquement. Le premier est poursuivi pour abus de confiance après une plainte de son frère. Il est soupçonné d'avoir vendu à son profit personnel ce joyau familial à un résident américain. Jean-François et Anne se sont portés partie civile, affirmant que la 250 GTO ressortit à l'héritage commun et réclament leur part.  

heritage-bardinon-3_6105100.jpg

La famille Bardinon-Chapal, dans son fief de la Creuse.

Coll.Part.

 

En Creuse, la famille Bardinon est de celles qui ont longtemps assuré la prospérité du département. En 1832, elle se spécialise dans le tannage des peaux de lapin à quelques kilomètres d'Aubusson. Dans les années 1930, la société Chapal compte sept usines, 3 000 employés, en France et aux Etats-Unis. Au début de la décennie 1980, l'entreprise produit 80 % du vison français, elle fabrique le prêt-à-porter de Christian Dior et fournit des peaux à Rank Xerox, qui s'en sert pour nettoyer les rouleaux d'encre de ses premiers photocopieurs.  

heritage-bardinon-2_6105094.jpg

Une usine Chapal à Brooklyn, New-York dans les années 1880.

Coll.Part.

Un père passionné de voitures de course

Pierre Bardinon prend la tête de l'entreprise dans les années 1960, mais il a une autre passion, la course automobile. Il constitue une magnifique collection de Ferrari. Pas n'importe quels modèles, uniquement des voitures de course, uniquement celles qui ont gagné les compétitions les plus prestigieuses, comme les 24 Heures du Mans. Il rachète pour une bouchée de pain les voitures dont les écuries ne veulent plus, des véhicules jugés bons pour la casse. Lui rêve de les voir rouler à nouveau.  

 

Il se construit un circuit privé sur la propriété familiale, le Mas du Clos. Trois kilomètres de montées et de descentes dans la forêt, les amateurs adorent. Le week-end, les passionnés descendent à Saint-Avit-de-Tardes, les messieurs tournent sur le circuit, les dames déjeunent à Aubusson et y font les boutiques. Sur les bords de la piste, on croise Albert Uderzo, Johnny Hallyday, Pierre Perret ou des pilotes mythiques comme Jim Clark ou Jackie Stewart.  

A la table de Pierre Bardinon et de sa femme, Yanne, se côtoient stars du showbiz et de la course automobile ou simples amoureux de Ferrari. Les privilégiés ont droit à une visite du musée privé, où même les carreaux jaunes du sol sont frappés du cheval cabré, emblème du constructeur. "Quand vous étiez bien sage et que Pierre Bardinon vous avait à la bonne, vous aviez la chance de le voir sortir une ou deux voitures et rouler sur le circuit. C'est une collection parfaite, du niveau d'une collection d'art, où la qualité est privilégiée sur la quantité", se souvient Alexandre, grand amateur, qui a visité le lieu pour la première fois à l'âge de 6 ans. A son apogée, le musée compte près de soixante pièces, dont une 250 châssis court en aluminium, victorieuse du Tour de France en 1961, trois 250 GTO sur les 36 produites, une 275 P et bien d'autres encore.  

heritage-ferrari_6105308.jpg

Pierre Bardinon (à gauche), avec le coureur Henri Pescarolo (au centre).

Coll.Part.

Les enfants, Patrick, Jean-François et Anne, grandissent dans cette atmosphère, sous la tutelle d'un père charismatique, au caractère fort. Est-ce parce que Patrick colle à la passion paternelle en devenant pilote ? Est-ce parce que c'est lui qui hérite du Mas du Clos, le domaine familial ? Au sein de la fratrie, les rancoeurs grandissent. Longtemps contenues, elles apparaissent au grand jour à la mort de Pierre, en 2012, suivie quelques mois plus tard de celle de Yanne. A l'inverse des biens immobiliers et industriels, la collection de Ferrari n'a pas fait l'objet d'un partage du vivant des parents. 

Une collection dont la valeur explose au fil des années

Surtout, au fil des années, elle a pris une valeur considérable. Les amateurs s'arrachent ces Ferrari, produites à quelques exemplaires seulement. "Le palmarès d'un véhicule peut faire varier son prix du simple au double. Or la collection de Pierre Bardinon comprend des pièces rarissimes, voire uniques au regard de leurs résultats", précise Matthieu Lamoure, directeur d'Artcurial Motorcars, le département véhicules de la maison de ventes aux enchères. En 2014, une pièce de la collection, la 335 S, s'est vendue chez Artcurial 32 millions d'euros. La GTO 250, à l'origine du différend, a été achetée par Pierre Bardinon 750 dollars, auxquels il faut ajouter 1 500 dollars de réparations. Elle s'est revendue, rappelons-le, 38 millions d'euros en 2014. 

Patrick, Anne et Jean-François, désormais la soixantaine, viendront, jeudi et vendredi, raconter à la barre leur version de l'histoire. Pour la seconde fois. En juin, une première audience a dû être interrompue après le malaise d'un magistrat. Ce jour-là, devant une salle comble, Patrick Bardinon, le prévenu, explique pourquoi il s'est senti en droit de vendre cette 250 GTO.  

A la fin des années 1970, narre-t-il, il a été victime d'un grave accident lors d'une course en Allemagne. Pendant quelques heures, il est donné pour mort. Lorsqu'il se remet, son père lui offre cette voiture. D'ailleurs, argumentent ses conseils, la carte grise est à son nom. Ils produisent aussi des listes de véhicules où la mention "Patrick" écrite de la main de Pierre ou Yanne figure à côté de la 250 GTO. La secrétaire particulière de Pierre, la comptable, son infirmière viennent témoigner du don. "Patrick avait une relation privilégiée avec son père, il était pilote, c'est lui qui a été choisi pour reprendre le Mas du Clos", insistent Pascal Rouiller et Vincent Jamoteau, les avocats de Patrick.  

Patrick Bardinon (ici, devant l'une des voitures) comparaît pour abus de confiance.

Patrick Bardinon (ici, devant l'une des voitures) comparaît pour abus de confiance.

Coll.Part.

Jean-François et Anne prennent à leur tour la parole devant les juges. Jamais leur père ne se serait séparé de ce joyau de la collection, affirment-ils. D'ailleurs, carte grise ne signifie pas acte de propriété. Ils abordent les difficultés nées dans la famille au moment de la succession. "Lorsqu'il raconte sa relation avec ses parents, Jean-François se met à pleurer à la barre", se remémore Catherine Perrot, journaliste à La Montagne. Des témoins racontent que, oui, Pierre Bardinon s'est toujours revendiqué propriétaire de la 250 GTO. Jean-François et Anne demandent que 50 millions d'euros - le produit de la vente, augmenté des intérêts - soient restitués à l'héritage commun.  

 

L'avenir de la collection en suspens

S'ils restent en apparence courtois l'un envers l'autre, les frères Bardinon ne se fréquentent plus. Patrick vit dans la Creuse au Mas du Clos, il mène une existence discrète, loin des mondanités. En 2011, il a fermé le circuit, faute de pouvoir financer des travaux de mise aux normes liés à l'évolution de la législation. L'économie de la région en a durement souffert.  

Jean-François a, lui, repris depuis 1982 la société Chapal, dont il a fait une marque de vêtements de luxe inspirés des univers de l'aviation et de l'automobile, avec une petite équipe d'une quinzaine de personnes à la fabrication. Il a un projet de musée à Crocq, où se mêleraient histoire industrielle et histoire familiale, atelier de restauration de voitures anciennes et exposition d'une partie des Ferrari de son père.  

Cette dernière partie est pour l'instant en suspens. Depuis l'affaire de la 250 GTO, la collection privée de Pierre Bardinon a été placée sous scellés. Seule une voiture, la 275 P, est, avec l'autorisation de la justice, proposée à la vente aux Etats-Unis afin de payer les droits liés à la succession. Une vingtaine de pièces, dont dix considérées comme majeures, pour une valeur estimée à 180-200 millions d'euros, attendent encore sagement au Mas du Clos. Une fois le jugement de Guéret connu, elles pourront être dispersées entre les trois héritiers.  

Ce sera alors la fin de la collection originelle de Pierre Bardinon. La fin d'une époque aussi. Celle où des dizaines de Ferrari s'arrêtaient à la petite station-service de Saint-Avit-de-Tardes pour s'approvisionner en essence. Celle où les mythiques moteurs de la Scuderia ronflaient au coeur de la forêt creusoise. Celle où l'on jetait les Ferrari à la casse. Celle où des passionnés comme Pierre Bardinon leur donnaient une seconde vie.  

 

Source : https://www.lexpress.fr/actualite/societe/a-qui-appartient-la-ferrari-a-38-millions-d-euros_2034053.html

Modifié par Lord Brett

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